Le droit d’apprendre, c’est – aussi – le droit de faire des erreurs
Souvent, on dit qu’on apprend plus de ses erreurs que de ses réussites. Ce qui est vrai. Encore faut-il que le droit à l’erreur, et donc à la seconde chance soit plus qu’une supposition. L’enseignant, tant pour lui que pour ses élèves, doit donner le droit à une seconde chance, tant dans l’enseignement des compétences, que dans celui de la Vie. Combien d’élèves ne sont pas complètement inhibés, au point de ne pas oser faire quelque chose, à l’image de cette élève qui, un jour de septembre en première année (CP), avait effacé toutes les réponses de sa feuille, pour être sûre de ne pas avoir d’erreur.